Quelles sont les marques les plus associées au sport féminin ?

Une précédente étude Sporsora/ OpinionWay avait déjà révélé que 7 Français sur 10 estiment que les marques devraient apporter un accompagnement ou un soutien financier au sport féminin, les secteurs de la beauté, de la mode, du tourisme, de la santé et du luxe étant identifiés comme les plus légitimes à s'engager. Une nouvelle étude de Sporsora avec le même institut, publiée cette semaine, nous indique que trois marques sont particulièrement (et logiquement) associées au sport féminin : Adidas (38%), Decathlon (37%) et Nike (36%). Ces mesures ont été réalisées à la mi-décembre 2024. Derrière ce trio de marques équipementières, c’est Sephora qui tient la corde avec 21% de citations mais l’enseigne perd 5 points par rapport à la vague précédente de février 2024. Orange, qui a remporté de nombreux prix avec sa « Compil des Bleues », arrive en 5^ème position avec 18%, devant EDF (17%) et FDJ (17%), partenaire de l’étude. Suivent Evian (15%) et Etam (15%) qui perdent respectivement 6 points et 4 points en moins d’un an. Crédit Agricole est la première banque associée avec 14% contre 8% pour Société Générale. Lidl est la première enseigne généraliste avec 13% contre 12% pour Carrefour et 8% pour Intermarché.

Si l’Eurofoot est l’évènement sportif féminin le plus attendu en 2025 (23% des Français ont l’intention de le suivre), d’autres disciplines font presque jeu égal avec le ballon rond. 20% des sondés vont suivre le Tour de France féminin, 19% le championnat du monde de handball féminin et 18% la coupe du monde féminine de rugby à XV. Au total, plus d’un répondant sur deux (52%) a l’intention de suivre au moins un évènement sportif féminin en 2025. Et notamment les 18-24 ans (66%) mais aussi les… hommes (65%). Contre seulement 40% des femmes.

Méthodologie : étude réalisée en ligne du 16 au 20 décembre 2024, auprès d’un échantillon de 1000 Français âgés de 18 ans et plus, représentatif de la population française (sexe, âge, CSP, région et taille d’agglomération). L’étude est consultable ici.