Chaud devant !

restauration

Travailler autrement dans  l’hôtellerie-restauration : une nécessité.  Chateauform s'y emploie.

Depuis son arrêt forcé lors de la pandémie du Covid 19 ; l’hôtellerie-restauration peine à retrouver sa vitalité. A date, 300 000 postes de cuisiniers, de pâtissiers, de serveurs… sont à pourvoir. 300 000 postes, c’est l’équivalent d’une ville comme Bordeaux qu’il faudrait recruter ! Les raisons de ce désamour ne manquent pas : les conditions de travail en cuisine, les horaires à rallonge en salle, des ambiances très hiérarchisées ... La nouvelle génération veut pratiquer ces métiers autrement.

Selon une enquête réalisée par Chateauform, 73% des jeunes attendent que les futurs employeurs soient à leur écoute et qu’ils puissent évoluer. 79% souhaitent un meilleur équilibre entre vie privée et vie professionnelle. 76% soulignent les difficultés à entamer une véritable transition écologique. Les métiers doivent évoluer, se renouveler avec plus de respect, d’humanité et de responsabilité. Pour montrer que d’autres pratiques sont possibles, le leader européen du séminaire et de l’hospitalité d’entreprise a entrepris sa propre transformation, et est devenu précurseur d’un travailler autrement, ce qui lui a permis de devenir entreprise à mission en 2022.

Chateauform a fait sauté les barrières du management "oldschool", a mis la bienveillance, l’humain au cœur de sa stratégie. Elle prône un modèle de restauration inclusif, où les violences en cuisine sont combattues, et qui cultive des produits sains, naturels ainsi qu’une pratique du zéro déchet. Pour cela, elle s’est alliée avec l’école d’excellence Ferrandi qui est, entre autres, à la pointe du recrutement managérial, et avec des cheffes étoilées engagées comme Manon Fleury ou Julia Sedefdjian, qui ont été précurseuses en inclusion des équipes comme en écologie des assiettes. Ce modèle de transformation humaniste donne une autre image de ce secteur en tension, le rend de nouveau attirant, et est un succès. Ce qui a incité Chateauform à transposer ce savoir-faire à d’autres secteurs, mais aussi aux lieux d’apprentissage, pour mettre en place de nouvelles pratiques de travail en revalorisant le lien social, la culture d’entreprise, lesquels sont aujourd’hui fragilisés par le télé travail. Il ne s’agit pas de remettre celui-ci en question, mais de repenser la vie au bureau avec de nouveaux services, de nouveaux rituels pour revaloriser le collectif et créer un cadre de travail « bienperfomant ». On suit…

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