Quand la communication extérieure s'inscrit au cœur des territoires

JCDECAUX

Outil de proximité par excellence, la communication extérieure est aussi un media responsable, comme le rappellent Valentin Gourdon, Directeur régional Bretagne Pays de la Loire et John Laroche, Responsable Commercial Pays de la Loire.

Valentin Gourdon

Valentin Gourdon

Le regain de considération pour les territoires et la quête de proximité des annonceurs font de la communication extérieure un media stratégique. En ressentez-vous les effets ?

Valentin Gourdon : Bien sûr. Chez JCDecaux, la communication extérieure finance l’ins-

tallation, l’entretien et la maintenance  des Abribus et des autres mobiliers urbains (stations vélo, kiosques, Mupi etc.) inclus dans les contrats avec les collectivités locales. Elle permet, par conséquent, un service de proximité utile aux citoyens sans peser sur les finances publiques. Elle permet aussi aux villes et au tissu associatif de diffuser leurs messages sur les espaces qui leur sont réservés. Enfin, elle soutient le tissu économique local.



John Laroche : En effet, 60 % de nos campagnes sont celles d'annonceurs locaux. La proximité est vraiment dans notre ADN ! Nous sommes le media de la rue, un media populaire qui permet de communiquer auprès de tous en même temps. Et à toutes les échelles, régionale, locale, voire ultra-locale, mais aussi temporelle !

 

Jean Laroche

John Laroche

Par exemple ?

John Laroche : Pour l’ouverture d’un restaurant japonais à Nantes, nous avons mis en place une campagne hebdomadaire ciblée sur 35 emplacements dans sa zone de chalandise en cœur de ville. Nous sommes allés photographier les plats pour les mettre à l’affiche. Nous aurions aussi pu déployer la campagne sur un espace plus large ou plus éloigné. Ou encore contextualiser les messages à des moments précis de la journée – à l’heure du déjeuner ou du dîner, par exemple - en nous appuyant sur nos mobiliers urbains digitaux (DOOH). Le tout pour un budget qui reste très accessible et adaptable pour investir l’espace public avec les scènes JCDecaux.



Valentin Gourdon : Le fait d’avoir organisé l’ensemble de nos espaces de communication en réseaux nous permet de proposer aux villes une couverture homogène de leur territoire, à l’intérieur duquel elles peuvent toucher différents publics avec des messages spécifiques et une très grande réactivité.

 

Certains reprochent aux mobiliers urbains leur manque de sobriété énergétique…

Valentin Gourdon : La sobriété fait pourtant partie de notre modèle d’entreprise ! Dès le départ, Jean-Claude Decaux s’est attaché à inscrire son activité dans une économie circulaire en veillant à ce que les mobiliers et leur exploitation soient les plus respectueux de l’environnement. Tous nos mobiliers sont recyclables et recyclés. Depuis dix ans, ils sont éclairés en LED et équipés d’horloges permettant de réduire de 70 % leur consommation énergétique. Le lavage est effectué avec de l’eau de pluie. En 2022, JCDecaux a également lancé un plan de sobriété énergétique visant à réduire de 10 % notre consommation d’énergie d’ici à 2024 par rapport à 2019. Enfin, nous remplaçons progressivement nos véhicules thermiques par des modèles hybrides ou électriques tout en optimisant nos tournées d’entretien-maintenance. Au global, la communication extérieure représente une part infinitésimale de la consommation d'électricité nationale, soit 0,028 % (source Étude KPMG pour l'UPE-mars 2023).



John Laroche : Notre media joue également un rôle dans la transition écologique en relayant les messages des annonceurs incitant à une consommation et des comportements plus responsables. C'est un accélérateur de transition au plus proche des publics.

Photos : DR

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