Vive le titre-resto digitalisé !
Un exemple de dématérialisation qui a bien rencontré son public.
Finis les tickets restos perdus ou oubliés au fond d’un sac, finis les comptes au centime près, fini le gaspillage de papier… vive la dématérialisation du titre-restaurant ! C’est en tout cas ce que pensent 86% des utilisateurs de titres-restaurant dématérialisés qui les jugent pratiques (dont 62% « tout à fait pratiques »). Et même la grande majorité des salariés utilisant encore le format papier en sont convaincus : 70% d’entre eux pensent que l’utilisation des titres-restaurant dématérialisés est pratique.
Chez les partisans du format papier (ceux qui ne trouvent pas le digital pratique), les raisons évoquées sont le plafond journalier limité (à 25€) et la plus grande difficulté à les partager avec sa famille.
A l’inverse, le format dématérialisé limite les risque de perte, d’oubli, de vol ou de destruction (ex. verbatim : « En cas d’oubli cela permet d’avoir des titres restaurant en permanence dans son téléphone ») et apporte de la simplicité et de la rapidité (ex. verbatim : « C’est plus facile à utiliser puis on peut payer la somme au centime près, ce qu’on ne peut pas faire avec des tickets papier »).
Ces résultats sont extraits d’une étude Viavoice réalisée en mars pour la Commission Nationale des Titres Restaurant, qui met en avant la large adoption de la dématérialisation : 70% des salariés concernés sont passés au numérique.
Une étude qui révèle aussi que 75% des salariés bénéficiaires de titres-restaurant ont constaté des changements dans leurs habitudes de pause-déjeuner depuis 2019. Le Covid et le télétravail sont passés par là. Les tendances déclarées sont : davantage de nourriture faite maison, moins de repas au restaurant et des pauses plus courtes.
Méthodologie : Enquête réalisée en ligne, du 11 au 22 mars 2024, auprès d’un échantillon de 1029 salariés bénéficiant de titres-restaurant extrait d’un échantillon de 5000 personnes, représentatif de la population salariée française âgée de 16 ans et plus, résidant en France métropolitaine. L’étude est consultable ici.
