Le KGB, Trump et moi

Photo édito

Une fois n’est pas coutume, cette semaine c’est moi qui vais vous interroger. Parce que ça fait longtemps que je me pose la question, mais là ça devient crucial. Pourquoi est-ce qu’autant de gens me demandent en ami sur LinkedIn ? Je sais, vous allez me dire que ma position avantageuse, mon charme et mon intelligence… Ah non, vous ne le dites pas ? Bien, je le prends très bien… N’empêche que c’est une réalité et ce qui m’amène à poser cette question aujourd’hui, c’est que j’ai reçu la demande d’un ancien espion russe. Si. C’est écrit comme ça dans son profil. Il est même précisé entre parenthèses (Service des illégaux du KGB)… Vous me connaissez, je suis un type courageux, dur au mal (là non plus vous ne dites pas oui ?) mais franchement je me demande quel peut être le rapport entre CB News et le KGB? Parce qu’on est d’accord que le B, chez eux, ça ne veut pas dire business ? Pas au sens où on l’entend à Boulogne Billancourt, en tout cas. Peut-être que je m’inquiète pour rien, mais reconnaissez que ces réseaux sociaux sont étranges. De là à vouloir les fermer comme l’envisage Trump, qui en use pourtant jusqu’à l’écœurement, il y a un pas que je ne franchirai pas. D’autant que sur ce plan, je suis l’égal du président des Etats Unis. J’ai des "amis" russes et je ne peux pas fermer Twitter.

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