Quand la PQR s’invite dans les relations avec les élus et chefs d’entreprises
66% des élus et 44% des entreprises pensent que la presse quotidienne régionale contribue au dynamisme économique du territoire, selon une étude commandée par le GIE de la PQR (qui regroupe les éditeurs de presse quotidienne régionale) et réalisée par l’IFOP dans le cadre d’une étude qui ambitionne de mettre en exergue le rôle d’intermédiaire que la presse régionale joue entre élus et chefs d’entreprise dans les territoires en matière de commande publique. De même, 69% des élus consultent fréquemment leur titre de presse quotidienne régionale et 44% des entreprises. L’étude rélève au passage une sur-présence des entreprises du secteur du BTP, par exemple, dont l’activité est forcément associée aux marchés publics : 85% d’entre elles disent consulter la presse régionale au moins une fois par semaine, contre 75% pour l’ensemble des entreprises.
Toujours selon l’enquête, 78% des élus et des entreprises valident le rôle d’information de la presse quotidienne régionale concernant les projets en cours ou à venir sur les territoires et des actualités économiques locales. En outre, la PQR se pose en véritable levier « incontournable » du dynamisme du tissu économique local (pour 61% des élus et 64% des entreprises), avec une « compréhension fine » des enjeux de son territoire d’implantation (pour 69% des élus et 66% des entreprises). Enfin, 66% des élus et 53% des entreprises considèrent que le titre de presse quotidienne régionale est l’acteur « le plus légitime » pour faire connaître les marchés publics alors que 76% des élus déclarent avoir déjà publié un appel d’offres au sein d’un titre de presse quotidienne régionale.
Méthodologie : étude menée du 13 décembre 2022 au 18 janvier 2023 auprès : d’un échantillon de 405 chefs d’entreprises, représentatif de la population française d’entreprise de plus de 5 salariés hors Ile-de-France ; d’un échantillon de 406 élus locaux hors Ile-de-France (374 maires, 22 élu(e)s départementaux, 10 élu(e)s régionaux). Avec un volet auprès d’un échantillon de 1010 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.